Le vent soufflait dans un pelage... noirs... comme l'ébène, mais seul le vent était là aucune odeur, aucun toucher, Nuage d'ébène ne sentait rien excepté le vent ... bizarre, il n'y avait même pas d'image, il faisait tout blanc, enfin plutôt ocre ... Elle courait, mais après quoi.

Nuage D' Ébène se réveilla en sursaut, elle avait encore fait se rêve bizarre, sa litière avait une odeur spéciale, elle regarda autour d'elle et vu qu'elle était à deux litières de la sienne. Quelle sommeil agités ... C'était sûrement à cause de ce rêve étrange. Il faisait sombre dans la tanière mais nous n'étions plus la nuit , non, car des rayons de soleil filtrait à travers les branches de fougères, protégeant l'antre du vent et du froid. Enfin un petit peu. Nuage D' Ébène se mit en face d'un des rayons de soleil qui faisait des traits de lumière blanche, où l'on pouvait voir les particules de poussières se promenait. Elle entendait aussi les bruit du camp derrière ces fougères, des miaulements, des bruits de pas ... tous les bruits qui animent le camps. Elle avait aussi l'odeur de son camps qui lui chatouillait les narines. Quesqu'elle aimait le camps du chaos. Il devait déjà être tard , elle décida donc de sortir, mais elle entendit un léger ronflement du fond de la tanière, il n'était peut être pas si tard que ça finalement.

Elle s'approchat du felin endormis, et reconnu de suite Nuage Ardent. Elle s'aperçut qu'elle n'avait jamais discuté avec cette nouvelle apprentie. En même temps Nuage D' Ebène avait un sale caractères, méchante, sarcastique ... On avait pas vraiment envie de devenir ami avec cette félines aussi noirs de l'intérieure que de l'extèrieure. Elle se décida à faire quelque effort mais seulement un peu ...

- Heu... Nuage Ardent ... [Aucune réponse.] Nuage Ardent ... Nuage D' Ebène donnait des coups de queue à la chatonne endormis.

- Tu devrais te réveiller, je croie que l'on est en plus d'être des lève tard en retard, allez debout ...


[ Voilà à toi ... Désolé pas super ]

>> La lumière perçait au travers mes paupières...

Une lumière chaude, pas aveuglante, m'éclairais. Je pourrais même dire qu’elle était… Agréable. Je sentis une légère brise se faufiler dans mon pelage, m’arrachant au passage un soupir d’aise. Je remuais les moustaches, tentant de sentir se qui m’entourait. Une odeur de pins et de bouleaux flottait dans l’air, m’emplissant d’une douce nostalgie. J’ouvris lentement les yeux, pour avoir un meilleur aperçu de ce qui m’entourait. Il y avait des arbres, des arbres, et, Oh surprise !

Des arbres.

Puis soudain, un détail me frappa. Je ne me trouvais plus dans les grottes du Clan du Chaos. Mais qu’est-ce que je foutais là ? J’avais pas marché en dormant quand même ? Je tournais sur moi-même, tentant de découvrir dans quel endroit j’avais atterrit. Puis, la réponse surgit dans mon esprit. Je savais. Je savais ou je me trouvais. Sur le territoire du Clan du Tonnerre, là ou j’avais vécu, jadis. Je sentis un regard sur ma nuque. Quelqu’un m’espionnait. L’intrus du le sentir car j’entendis un bruissement. Il tentait de fuir… Je ne pouvais pas la laisser partir, pas avant d’avoir compris ce qui se passait. Je fis volte-face le plus vite que je pus. Pas assez rapidement, hélas, car tout ce que je vis fus un éclair de fourrure grise disparaître aussi soudainement qu’il était apparu. Je me mis à sa poursuite. Je bondissais entre les buissons, entre les arbres, me surpassant pour maintenir la cadence. Je débouchais tout à coup dans une clairière parsemé de petites fleurs roses. Je criais ave force :

Arrête-toi !

La forme à la couleur cendré se figea. Je sentais la personne très tendu, comme si on l’avait surprise la main dans le tas de gibier alors qu’elle avait déjà prise sa part. Puis, ceci fait, je dis sur le même ton impérieux :

Retourne-toi lentement…

Ce qu’il fit. Ses yeux ambrés me transpercèrent de leurs lueurs brûlantes. Je reconnaissais ce visage, ce petit museau et ce regard. Je faillis m’étouffer de stupéfaction. C’était lui. LUI ! J’avalais ma salive avec difficulté. Il me considéra un instant, puis se retourna pour s’enfoncer de nouveau dans la forêt. Je le laissais faire. Un étrange sentiment me submergea. J’avais de la misère à décrire ce que je ressentais à cet instant, mais je le réalisais plus tard.

C’était de la culpabilité…

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J’ouvris les yeux, mon cœur battant de manière désordonnée. Je regardais partout d’un air affolé puis mon calme habituel revint immédiatement. J’étais de retour chez moi, là ou je devais être. Je remuais les pattes et les étiraient avec lenteur. Je passais ma langue râpeuse sur mes babines sèches. Ce rêve était tellement réel. J’avais faillis fondre en larme lorsque je l’avais revu. Il ne faudrait plus que cela se reproduise, et j’étais prête à tout pour cela. Je remarquais soudain qu’il y avait quelqu’un à côté de moi.

Nuage d’Ébène, une apprentie... Tout comme moi.

Je ne pouvais pas me tromper. Un beau pelage sombre, des yeux ambrés brillants d’un éclat cruel, c’était bien elle. Je me relevais avec difficulté et considérait la chatte. Elle était beaucoup plus vieille que moi et avait beaucoup d’expérience, mais celle-ci ne m’intimidait pas pour autant. Elle avait peut-être un sale caractère, mais au moins, elle ne cherchait pas les problèmes. Je réalisais soudain que c’était elle qui m’avait réveillé. Puis, je me rendis ensuite compte à quel point il était tard. J’entendais tous les bruits venant de l’extérieur et je me dis alors que la journée était déjà bien entamée. Bon, j’imagine que je lui devais une fière chandelle. C’était elle qui m’avait sortie de ce fichu cauchemar après tout. Je fis un petit sourire à l’apprentie et lui dit avec une reconnaissance non-feinte :

Merci beaucoup de m’avoir réveillé. Je crois que je serais resté trèèès longtemps ici si tu ne l’avais pas fait.



(Post de merde XD Mon rêve est plus long que le reste !)

Nuage D'ébène, regarda L'apprentie en face d'elle qui se levait. Elle la fixa longtemps, car Nuage Ardent prenez du temps à se lever. La chatonne noir ne connaissait pas vraiment Nuage Ardent, qui était une très jolie chatte, blanche avec du roux [ c'est sa hein ?? ] et qui était un peu plus jeune qu'elle. Mais elle avait beau paraître inoffensive, sa camarade si on la cherchait pouvais être une ennemies redoutable du haut de ses quelques lunes.

Mais revenons à la chat ébène, une très méchante féline, avec un caractère de chien, mais qui ne cherchai pas pour autant les problèmes. Mais elle ne voulait pas vraiment d'amies, ou quelqu'un qui la comprendrait vraiment, pas un petit ange qui chercherai juste une protection. En parlant de chat qui ont besoin de protection, Nuage D'Ébène savait que Nuage Ardent pouvait se débrouiller toute seule et ne n'était pas une lèche pattes, c'est ce qu'elle appréciait chez la féline blanche.


Mais bon Nuage D'Ébène a vraiment un horrible caractère, insupportable, insoutenable, si on lui demande de s'occuper des anciens elle le fera en feulent et crachant et en leur adressant des regards noirs. Mais pourtant elle adorait les anciens, il râle tout le temps, quelle bonheur pour cette féline ébène. Et puis elle avait leur mentor qu'il fallait, elle avait la chance d'avoir la chef du clan en tant que mentor, et d'ailleurs, elle s'entendait plutôt bien, elles sont toutes les deux plutôt cruelle.

-Merci beaucoup de m’avoir réveillé. Je crois que je serais resté trèèès longtemps ici si tu ne l’avais pas fait.


La voix de Nuage Ardent sorti Nuage D'Ébène de ses pensées. Elle ne faisait pas une voix toute mimi et toute douce comme font les autres chats en espèrent que l'apprentie soit gentille avec eux. Non une voix tout à fait normal. La chatonne ébène lui répondit d'un ton bien à elle:

- Pas la peine de me remercier, je n'en n'ai pas besoin. Allez dépêche toi cervelle de souries .

Elle donna un coup de queue amical sur la truffe de nuage ardent en attendant qu'elle se bouge.