La Guerre des Clans
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 Toujours se méfier des apparences. Toujours.

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MessageSujet: Toujours se méfier des apparences. Toujours.   Toujours se méfier des apparences. Toujours. Empty9/10/2011, 20:15

Toujours se méfier des apparences. Toujours.



Silence. Seul le sombre murmure de la brise de glace dans les feuilles d’or et de feu des chênes centenaires, et le croassement d’un corbeau s’envolant vers le ciel emplit de nuages vint rompre le silence bien trop pesant des bois. En ce jour de la saison des Feuilles Mortes, toute la forêt semblait triste et sans vie, en proie à une atmosphère beaucoup trop calme. Tellement, qu’elle est était presque … Menaçante. Oui, c’était le mot juste. Cette ambiance, lourde, semblait comme se jouer de nous, prenant un malin plaisir à nous faire frissonner d’effroi. C’en était presque rageant. Tellement, qu’on pressait le pas, continuant notre sempiternel chemin. On avançait, encore et encore, mais, au fond, on se sentait comme épié. Mais, on continuait. Toujours avec cette peur maladive au ventre. On déglutissait, frissonnait. Observant sans cesse les alentours, comme si un spectre venu de la pénombre s’apprêtait à nous sauter dessus, ses griffes s’enfonçant dans notre chair. Secouant la tête, espérant ainsi chasser ces sombres pensées, puis, nous poursuivions notre route. Enfin, nous parvenions à nous détendre, juste un peu. Soupir de soulagement. Et puis, soudain, un bruit. On se retournait. Les ombres dansaient autour de nous, riant de notre peur. Effroi. Crainte. Des gouttes de sueur coulaient de notre front. Un souffle contre notre nuque. Faisant volte face, notre cauchemar se réalisa.

Et on mourait.



Les prunelles verdoyantes d’Harmonie Automnale s’ouvrirent instantanément. Un effroyable songe. C’était juste un mauvais rêve. Constatant avec soulagement qu’elle n’était ni dans cette sombre forêt, ni morte, elle soupira, tout en posant sa tête sur ses pattes. Non, elle ne refermerait pas les yeux. Pas pour voir ça. C’était bien trop horrible pour elle. Un craquement la fit sursauter. Ce n’était qu’un écureuil. Pitoyable. Elle était pitoyable. Nouveau soupir. Tentant d’apaiser son humeur quelques peu nerveuse, la belle tâcha de remettre un peu d’ordre dans ses idées. Ainsi donc, elle s’était endormie. A vrai dire, cela n’était pas très étonnant quand on venait de passer une nuit blanche, tout en remuant de tristes et bien trop amères pensées. Son ravissant visage, à présent déchiré par la fatigue se crispa. Ne pourrait-elle jamais être en paix ? Faudrait-il toujours supporter ce fardeau bien trop lourd à porter ? Des fois, elle voulait lâcher. Tout abandonner, se laisser emporter par le tourbillon du désespoir. C’était trop dur. C’était trop dur de savoir que l’on ne pourrait plus jamais revoir son bien aimé. C’était trop dur de se retrouver enfermée dans ce maudit clan, tout ça à cause d’une promesse. C’était trop dur de savoir qu’un être nous embrasant le cœur était mort par notre faute. On voulait fuir. On voulait tout laisser dans un coin de notre misérable et trop malheureuse vie, courir vers la sortie, partir pour un monde meilleur. Mais c’était lâche. Ne fuis plus, soufflait cette petite voix aux oreilles de la chatte, Bats toi. Un jour, tu le retrouveras, ton bonheur ! Oh, Harmonie Automnale aurait bien aimé croire ses paroles. Mais hélas, c’était impossible. Jamais. Jamais elle ne pourrait retrouver sa joie d’autrefois, à présent condamnée à porter ce masque de glace, cachant ainsi ses faiblesses des lunes passées. Elle ne pouvait pas. Harmonie Automnale ne devait pas montrer ses faiblesses. À personne. C’en était ainsi. Peut être était-ce par crainte des moqueries, de la cruauté de certains ? Ou bien, pour éviter ainsi de s’attirer la pitié de d’autres gens ? Peut être un peu des deux. À vrai dire, personne au camp ne connaissait réellement l’histoire d’Harmonie Automnale. Pour eux, ce n’était juste qu’une solitaire retrouvée tachée de sang et de malheur, en quête d’une nouvelle vie. Idiots, va. Partez donc au Diable. Laissez la vivre, laissez la profiter de ses trop rares instants de joie, ô combien recherchés. Qu’elle vive en paix.

Naturellement, si cela était possible.


Mettant fin à ses pensées peu joyeuses, Harmonie Automnale se releva, secouant sa longue fourrure, chassant ainsi quelques brins d’herbe un peu trop collants à son goût. Se passant ensuite un rapide coup de langue sur ses flancs, elle songea à l’excuse bidon qui pourrait peut être lui sauver la mise, ne serait-ce qu’une fois. Après tout, en bonne guerrière, rare étaient les fois où la demoiselle « profitait » d’un après midi, se concentrant plutôt sur la chasse. Oui, elle avait toujours aimé cette activité là, en raison de sa position de « prédateur. » La vie avait fait d’elle sa proie, alors, elle pouvait bien compenser ce défaut dans d’autres activités, non ? La guerrière huma l’air, entrouvrant légèrement la gueule. Pouvant parfaitement distinguer l’alléchant parfum d’un lapin, Harmonie Automnale, guidée par son odorat, s’enfonça à pas de velours dans les profondeurs des hauts bois de la forêt. Fine et svelte silhouette agile guidée par sa proie, la belle ne tarda pas à trouver celle-ci, occupée à grignoter quelques herbes jaunâtres. Se posant délicatement sur le sol mousseux, tout en ayant pris soin de se mettre face au vent, – technique répétée maintes fois aux jeunes apprentis – la chatte rampa, aussi souple et agile que la vipère. Plus que quelques instants, et ce gibier serait sien. Elle s’avance, encore un peu. S’arrête. Sourire. Dis adieu à la vie, p’tite bête. Elle saute. Le pauvre rongeur n’eut pas le temps de réagir, que déjà, il fut saisit dans la gueule de la guerrière, avant d’être achevé pour de bon. Lâchant le lapin, Harmonie Automnale le contempla un bref instant, un léger sourire aux babines rougies par le sang. Se léchant celles-ci, la belle observa avec amusement la pauvre créature ayant à présent quitté ce triste monde. Une brise souffla, enveloppant la femelle de froideur. Une ambiance trop calme. Silence. La brise. Comme dans le cauchemar. Mais, maintenant, je suis le prédateur Oui, c’était cela. Non pas que la guerrière était une grande sadique avide de carnage et de sang, – loin de là cette idée – mais, il était bon de se sentir maître, avec n’importe quel être … Même un lapin, aussi comique que cela puisse être. Remuant les moustaches d’amusement à cette pensée farfelue, Harmonie Automnale attrapa la proie encore chaude, avant de continuer son chemin. Pourtant, une étrange impression l’envahissait. Il lui semblait avoir oublié quelque chose. Mais quoi ?
Elle ne parvint pas à mettre la patte dessus. Enfin, cela ne devait pas être quelque chose de très important, vu que cette chose semblait avoir été étrangement effacée de la mémoire de la chatte. Malgré cela, il y avait toujours cette impression de méfiance, d’oubli, et comme … d’interrogation. Arrivée près d’un buisson décharné, Harmonie Automnale s’assit, ses nombreuses proies pendant de sa gueule. Agacée par ce fameux souvenir s’échappant avec malice de sa mémoire, elle observa le ciel, pensive, toujours avec ce regard d’émeraude froid et électrisant. À la voir, on ne saurait que penser d’elle. Regardait-elle ces cieux avec envie ? Ou bien, avec haine ? Tant de masques, que l’on ne la reconnaît plus. Un caméléon, ayant perdu sa véritable identité, ou, du moins, égaré au fond d’une mare de souvenirs si profonds qu’on n’en verrait pas la fin. À quoi pouvait elle songer, cette belle inconnue, avec son regard aussi vert que l’herbe des champs au printemps, si doux, et pourtant si glacé à la froid ? Que pouvait-elle se dire, cette chatte, avec ce visage triste et neutre, baigné d’une expression hautaine et méprisante, mais si empreint de mystère ? Oui, cette demoiselle était une énigme. On ne pouvait la cerner, ni même la comprendre, tant ses facettes sont infinies, tant ses attitudes semblaient incompréhensibles. Imprévisible, indomptable. Comme le souffle de vent qu’on tenterait d’attraper, et qui nous glisserait entre les doigts, insaisissable. Un oiseau s’envola. Un léger soupir ce fit entendre. À présent, Harmonie Automnale s’était relevée, fixant avec rage le ciel. Dire que cette bête était libre, elle. C’était injuste. Cloitrée dans un maudit clan, un être perdu, un promesse quelques peu agaçante, que demander de plus ? Le destin ne s’était-il pas assez joué d’elle ? C’en était trop. Elle expira bruyamment, avant d’attraper ses proies. Il est temps de rentrer au camp.


« Pff. »

S’en suivit un long soupir, témoignant du « léger » manque d’enthousiasme à rentrer au camp. Dire qu’il va encore me falloir revenir ici … Ignis, faut-il vraiment que je tienne cette foutue promesse de malheur ? Elle fit un pas, humant l’air. L’odeur du Clan de l’Ombre puait à plein nez. Fort heureusement, et quoique étrangement, la belle ne semblait pas avoir hérité de cet exécrable parfum, en possédant plutôt un à la délicate odeur de rose, surmonté d’une pointe de fraîcheur. Certains l’avaient déjà remarqué, et, fidèles croyants du Clan des Étoiles qu’ils étaient, avait pris cette chance – ou ce défaut – comme un rejet face à Harmonie Automnale, celle-ci ne se trouvant pas être née au sein de la communauté. Mais, cela ne choquait pas particulièrement la guerrière, prenant plutôt ceci comme un petit avantage – l’odeur de l’Ombre ayant un parfum très particulier. Lorsque qu’elle franchit le passage menant à la clairière, une horde de boules de poils vinrent se ruer sur la chatte. Elle retroussa légèrement les babines, quelques peu agacée.

« Woaaah ! Harmonie Automnale a attrapé plein de proies ! Elle est trop forte ! »

Les petits tournèrent autour d’elle, tandis qu’un regard attendrissant des reines de la pouponnière passait sur le petit groupe – ce qui ne manqua pas d’exaspérer la guerrière. Foutus chatons. Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire à attraper des proies. Enfin. Ils doivent être pressés d’être des apprentis fidèles et dévoués au clan, et, je te pari qu’ils rêvent tous d’être un grand et bon chef plus tard. Ses oreilles couchées en arrière, le poil hérissé par le groupe de jeunes chats toujours agglutinés auprès d’elle, lui posant mille et une question auquel la belle ne répondait pas, elle tenta d’avancer jusqu’à la pile de gibier, y déposant ses proies. Les cris commençaient à être très … Agaçants.

« Bon, maintenant, vous allez me faire le plaisir de déguerpir à votre pouponnière, où vos mères vous attendent sagement. C’est vrai, un accident est si vite arrivé… »

Les cris stoppèrent net. Les petits se regardèrent, craintifs, avant de foncer vers la pouponnière, terrifiés. Quand aux reines, leurs prunelles emplies de tendresse avaient muées en un regard hautain et dédaigneux. La guerrière riait intérieurement, s’avançant dans son « repaire » privilégié, entre les buissons et le tronc servant de gîte aux guerriers.

« … Et Sombre Écho n’était pas là de la journée. »

Harmonie Automnale se redressa subitement. Elle revoit la scène. C’est le matin. Le guerrier sort du camp. Harmonie Automnale, piquée par sa curiosité, le suit. Ils traversent les territoires de l’Ombre, dont le mâle sort. Interrogation.

Tu vas où, toi ?


La guerrière se pose sur le sol, les pattes avant repliées l’une sur l’autre. Maintenant, elle se souvient. Mais qu’est-ce qu’il mijote, Sombre Écho ? Étrange, tout ça. Je me demande bien ce qu’il est parti faire. Il s’est dirigé sur les territoires libres ? Pas possible. Mais attends un peu …

Déclic.

Sombre Écho est parti vers … Les territoires du Clan du Chaos.

Bruissement. Elle redresse la tête, fixant avec agacement le nouveau venu. Qui, justement, n’aurait pas dû venir. Elle soupira d’agacement, avant de se redresser, élégante, et de sortir du repaire.

« Tu rentres bien tard, toi. »

Méfie toi, dit cette petite voix, Méfie toi de Sombre Écho.
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MessageSujet: Re: Toujours se méfier des apparences. Toujours.   Toujours se méfier des apparences. Toujours. Empty5/11/2011, 17:35

Harmonie Automnale & Écho des Vents ♥
« Tu te crois forte, mais crois-moi tu
vas voir que la souffrance peut s'avérer longue »



Un craquement sec déchira soudainement le couvert de la forêt, faisant s'éparpiller un groupe d'oiseaux, qui, instinctifs sentaient venir le danger et y échappaient dans un même temps. Mais leur espèce ne fut pas la seule à craindre quelque chose au vu du sursautement nerveux qu'effectua un félin au pelage bicolore. En effet, je sentis mon coeur rater un coup lorsque ce craquement s'éleva dans l'air immobile. Instinctivement, mon pelage se dressa sur mon échine, tandis que mon regard fascinant se mettait à explorer les recoins de la Forêt. Car, je n'avais en effet, rien à faire dans l'endroit où je me trouvais actuellement et, si jamais quelqu'un me trouvait ici, c'en était fini de ma couverture.

Ne percevant aucune présence féline dans les alentours, je sentais ma respiration se calmer imperceptiblement. M'asseyant, je rabattis à coup de langue ma longue fourrure noire et blanche tout en continuant de surveille les alentours. Car, en effet, 'étais en territoire inconnu. Un endroit vague entre le Territoire de l'Ombre et du Chaos. Et je savais pertinemment que ma simple présence ici suffisait à prouver ma trahison car les seuls chats qui sortaient du Territoire du Chaos encore en vie étaient ceux qui étaient du côté de ce Clan. Ce qui était, inévitablement, mon cas.

Me relevant, je me remis en marche d'un pas rapide. Observant l'inclinaison du soleil, je frémis en voyant l'heure tardive qu'il était. Je n'aurais pas le temps de chasser une proie pour excuser mon absence. Tcch, tout cela, c'était la faute à la situation du Clan du Chaos. Ils avaient soudainement et inexplicablement changé de Chef. Ce mystère cachait, selon moi, surement une rebellion ou l'actuel chef avait tué Brume Illusoire, le seul Chat à qui je m'étais adressé pour l'instant. Enfin, peu m'importait en fait, pour la nouvelle chatte valait bien l'ancien, ils n'étaient qu'un moyen pas une fin. Mais le problème résidait dans le fait que Poussière d'Étoile avait été d'une méfiance absolue et j'avais du utiliser tous mes pouvoirs de persuasion pour la convaincre que j'étais vraiment un Espion, et ce depuis plusieurs mois. Et bien sur, aucun chat du Clan en m'avait aidé dans ma tâche, ça aurait été trop facile.

Une forte effluve bien connue agressa mes sens. Même les yeux fermés, j'aurais pu repérer la frontière du Clan de l'Ombre. Avec un soupir de soulagement que je ne pus cependant contraindre, je passais cette fichue frontière. Quelle ironie. J'étais soulagé de rentrer dans le Territoire du Clan que je détestais du plus profond de mon coeur. C'en était risible. Faisant ma toilette rapidement pour effacer toute odeur qui aurait pu paraître suspecte, j'observais avec une dernière touche de nervosité les alentours.

Humant l'atmosphère et n'y trouvant que de vieux relents d'odeur, je me détendis un peu. Seulement un peu. Ces derniers jours avaient été chargés de tension, tant que j'en parvenais parfois à perdre mon calme légendaire. Secouant ma tête pour chasser ces pensées, je me redressais et me dirigeais d'un pas vif vers mon Camp. Hmm, j'étais vraiment en retard et c'était avec un regard anxieux que je regardais le soleil qui se rapprochait de plus en plus du sol. Cette espèce de bourrique qu'était la nouvelle Chef du Chaos m'avait vraiment retardé...

Atteignant enfin mon Camp, je poussais un léger soupir de soulagement en voyant que personne ne semblait me prêter une attention particulière. C'était bon, on ne s'était pas rendu compte de mon absence de la journée ou tout du moins, personne ne s'y était intéressé vraiment de près. Voilà l'avantage de ne pas avoir d'amis, on ne se souciait pas vraiment de ses agissements quels qu'ils soient. Apercevant un peu plus loin le Lieutenant du Clan, je fis un léger détour afin de l'éviter. S'il commençait un interrogatoire, je ne pensais pas avoir la patience nécessaire pour lui répondre placidement. Je pouvais enfin me détendre lorsqu'une voix amère me tendit soudainement.

    « Tu rentres bien tard, toi. »

Veillant à ne pas sursauter suite à la remarque qui était loin d'être innocente, je me contentais de diriger un regard froid comme la glace vers mon interlocutrice. Je ne pus cependant empêcher ma queue de remuer nerveusement dans mon dos. Une erreur que je n'aurais pas faite si je ne me sentais pas si épuisé par ma journée. Laissant planer quelques instants un silence de glace que la curieuse pouvait interpréter de la façon qu'elle voulait, je dévisagea Harmonie Automnale. Étonnant, si je m'étais attendu à ce qu'on me pose cette question, j'aurais pensé qu'elle viendrait d'une toute autre personne. Enfin, peu importe, glissant toute l'indifférence que j'éprouvais à son égard dans mon ton, je lui répondis.

    « Excuse-moi, je n'étais pas au courant qu'un couvre-feu avait soudainement instauré. Et, peut-être ai-je manqué cet épisode mais, depuis quand es-tu devenue notre Lieutenant ? »

Me contentant de lécher ma patte, je regardais la chatte, me demandant vaguement si elle allait bientôt se pousser pour que je puisse passer. Ou alors, serait-elle d'une telle finesse qu'elle allait rester ainsi pour m'accuser à tort et à travers.
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