Griffe des Neiges chasser, les épaules basses recouverte de quelques flocon, qui ne se voyait pas trop à cause de son pelage d'une blancheur pur. Soudain, il vit une forme grise clair filait à toute allure au ras du sol, et il se mit immédiatement à lui courir après, avant même de reconnaitre l'odeur du lapin. L'animal courrait vite mais le lieutenant savez qu'il ne pouvait pas laisser s'enfuir la moindre proie en cette saison gelée et il donner son maximum. Soudain, la forêt disparus, et proie et lieutenant se retrouvèrent juste avant le chemin du Tonnerre. Horreur! Si se lapin passer se chemin, se ne serais plus la proie légitime du clan de l'Ombre... D'un bond géant, utilisant toute la puissance de ses pattes arrière à s'en faire mal, le matou arrivas juste sur l'animal, mais aussi juste au milieu de la route de la mort, avec un bruit inquiétant s'approchant à grande vitesse.
A tord, le mâle immaculé crus qu'il avait le temps d'achever l'animal et de repartir vers son clan, et quand la première chose fut effectuée, et qu'il levas les yeux pour voir ou le monstre en était, il n'eut plus que le temps de bondir aussi loin que ses pattes pouvait encore le portait. Se qui l'éloigna vraiment, de fait, fut le souffle du passage de l'immense monstre, qui le repoussas comme qu'il ne peser rien contre la base d'un arbre, l'étourdissant, avant que le chat blanc dégringole finalement la pente que faisait le sol du côté du clan du Tonnerre. On n'aurais pas deviner, en regardant depuis le territoire de l'Ombre, que le terrain descendez, comme ça, à cause de la végétation qui commencer comme un mur, mais le fait était bel et bien qu'il y avait là une pente qui fit rouler le grand matou bien loin de sa prise en le maltraitant.
Cinq bonne minute était passer quand il repris suffisamment conscience pour se rendre compte qu'il avait sauter du mauvais côté, et qu'il était à présent et terrain ennemis... Que faire? Partir en courant? Non: Son odeur resterez sur place et il aurait des ennuis a la prochaine assemblé. Il choisit de rester sur place le temps qu'un guerrier arrive pour lui exposer la situation et partir sans avoir rien à se reprocher.
*En voilà justement une qui arrive*
Se dit-il, et il tourna la tête en direction d'une odeur approchante.