La pluie, silencieuse ou bruyante, limpide ou
opaque. Ces petites gouttes qui tombes par centaine d'un nuage noire
ont souvent été confondues à des larmes. Mais personne ne s'est déjà
demandé si les larmes n'étaient pas pluie au lieu de la pluie est
larme. A moins que ça ne soit la même chose, d'un certain point de vue;
c'est le cas. Tout peut dépendre de la manière où on comprend cette
phrase qui est aussi floue que le paysage derrière un rideau de pluie. Encore la pluie.

Et si le temps pluvieux, que l'ont rattache toujours à la tristesse serait du jour au lendemain bonheur ? Cela peux paraître absurde et pourtant....
Oui, tout peux être logique, on ne pleure pas seulement de tristesse, mais aussi de bonheur et de joie. Si la pluie était synonyme de larmes de joie ? Ce monde est bien absurde avec ses idées fixe.

Et puis, ensuite, on dira: si la pluie est bonheur alors qui est tristesse ?
Tristesse, c'est tristesse, mais si un temps pouvait la refléter ?
Et
bien, chose simple, quoi de plus torturant et désespoir qu'un coeur
noyé dans son chagrin qui n'a plus de larme où la douleur en
devient si grande que les larmes en sont inutiles. Ce serait alors un
ciel voilé de nuage. Attention des nuages pas trop sombre non, des
nuages grisâtre qui reflète encore plus la lumière du soleil qui
inondent le ciel à perte de vue sous une lumière blanche ou grise qui
fait mal aux yeux.

Pensées inutiles ou pas, en tout une jeune féline noire ne semblait se soucier de rien. trop absorbée par ces pensée, elle ne remarque pas la clairière qui l'entoure, l'herbe glissante et verdoyante sous ses pas, ou encore les quatre grand chênes qui surplombent le tout. Parfois un oiseau passe, lâchant un cri plaintif et fuyant. Aussi, fallait les comprendre, voler dans une pluie battante sous les bourrasque de vent n'est pas agréable.

Mais quelques chose, ou quelqu'un vient de sortir chante lune de ses pensée. En effet, une ombre se mouvait devant elle...

-chante lune, du tonnerre

ses paroles eurent pour effet de surprendre le chat en face d'elle.

Une silhouete se mouvait sur la pleine innondée par la pluie, marchant droit devant elle, sans but précis ni concrès. La féline grise avançait sous cette pluie bie, mystérieuse. Le ciel pleurait. Oui, mais de quoi ? On peu pleurer de tant de choses...
Injustices, tristesses, souffrances, douleures, joies, rires... Tant de choses font pleurer. Tant de choses... Et pourtant, le ciel pleurait, et la chatte tigrée commençait à douter du chemain qu'elle devait enmprunter. Elle marchait droit devant, tête basse, sans regarder où elle allait. Au bout d'un momant, elle leva la tête. Ce qu'elle vit la fit frissonner.

Il se tenait là, droit, regardant le ceil, sa musculature imposante jouant innoceamment sous sa fourrure, son pelage noir sinistre reflétant la pâle lueur du jour... Instainctivement, elle se mit en position, prête à bondir sur le chat qui se tenait sur le rocher entouré de quatre chênes. Larme de Fougère fut surpirse lorsque l'éclat d'une voix familière rententit.

- Chante Lune, du tonnerre

Chante Lune !! Comment avait-elle put confondre son lieutenant avec son père ? Franchement, des fois, elle ferait mieux d'aller se recoucher, la petite guerrière. Elle avança, les muscles détendus.

- Chante Lune, dis-tu ? De loin, je t'ai prise pour... Lui...

Lui... Son père, être qu'elle connaissait peu et qu'elle n'avait aucune envie de connaître d'aventage, Brume Harmonieuse... La féline s'était retenu au dernier momant de prononcer le nom de son père.

|Minable, mais j'suis pas trop d'humeur]

[désolé pour le rp médiocre, mais je voulais répondre vite ^^' ]

La guerrière qui était en face d’elle était en position de combat, son regard était si dure. Mise à part la couleur du pelage, elle ressemblait tellement à son frère… Ce… Rien.

- Chante Lune, dis-tu ? De loin, je t'ai prise pour... Lui...

Larme de fougère ! Oui c’était bien elle ! La lieutenant n’avait jamais remarqué ces traits flagrants de ressemblance avec ce traître prénommé Brume Harmonieuse. Celui, où juste un lien de sang les retenait, celui qui avait tuer son propre clan, celui qui était un traître, celui qui était devenu chef d’un clan sanguinaire. Celui qui avait demander à Murmure du vent de la manipulé, et surtout, celui qui avait tuer leur sœur. Rire Mélodieux. Chante Lune chercha, à travers la pluie, une brise de vent, une rafale. Elle avait toujours entendu l’écho d’un rire lointain, cet voix cristalline appartenant au passé, à sa sœur. Et son passé revenait, inlassablement, ne pouvait donc-t-il pas la laisser tranquille ? Ce fichu passé aux couleurs grises. Enfin, serait-elle un jour libéré des chaînes de la douleur ? Seul la mort pourrait lui offrir le repos. Mais un repos des lâches.
Une goutte de pluie, glissant sur sa pupille égarée dans le vide, la ramena dans la tranchante réalité. Elle s’ébroua, délogeant une centaine gouttelette logées dans son pelage, comme si elle n’avait pas assez froid comme ça. Qu’il fasse chaud ou non, la chatte ébène sentait toujours cet étaux glacé au cœur. En plus de la faire souffrir, il l’a gelée. Qu’elle belle vie dit donc ! Enfin, elle n’était pas à plaindre. Sa sœur avait vécu bien plus pire ! Et au moins elle était vivante !
La sous-chef fixa la combattante, elle y voyait un reflet du passé. Jamais elle n’avait remarqué telle ressemblance. Un doute s’insurgea dans ses pensées. Et elle se rappela.

Juste après cette bataille, juste après qu’elle est découvert de le massacre ; ses chatons morts, son pseudo bonheur effondré, son amour à sens unique, et sa sœur, inerte. Après avoir vaincu la folie de la tristesse, retrouver assez de force dans le désespoir pour pouvoir se lever, et avancer pour se venger. Elle était allée à se camp ennemi, ce clan de tout les cauchemars. Comment diantre, pouvaient-ils être animés d’autant de haine, d’avidité et de soif pour le sang et la mort ? Qui pouvait donc animer ces être infâmes. Espoir de la Lune, nommé ainsi à l’époque, ancienne lieutenant du clan du crépuscule, les avait un instant observé, surtout lui, celui de toutes ses souffrances. Brume Harmonieuse était entré dans une pouponnière. Elle s’en souvint bien, cette douleur de mère ayant perdu ses chatons, cette haine ressentie. Lui, ils les avaient encore ses enfants, alors que elle, n’avait plus rien. Seulement un gouffre immense, glacé et lourd, tant de poids, trop de froid. Peut être que Larme de Fougère avait un lien avec ce tueur ? Quoi qu’il en soit, niveau caractère, elle ne tenait pas de lui. Faudrait-il encore qu’ils ai un lien de sang…

Chante Lune, trop dans l’incertitude, releva juste le dernier de la phrase de la guerrière. Sa voix, toujours aussi froide, allait parfaitement avec son regard endurci par le temps.

- Lui ?

- Lui ?

La féline grise laissa échapper un soupir, soupir non pas montrant son impatience. Si elle aurait pu, elle serait partie, laissant là sa lieutenante. Si elle aurait pu, elle aurait éclaté en sanglots. Si elle aurait pu, elle aurait laisser ses jambes fléchir et son corps s'affaiser par terre. Si elle aurait pu, elle aurait crier le plus fort possible que cet être noir à l'air hautin et la démarche sanguinaire, un pelage noir suintant de sang qui inspirait la terreur n'était pas son père...

- Mon père...

Mais Larme de Fougère ne pouvait pas. Elle ne pouvait pas faire sortir de son corps ces gouttes d'eau salées . Elle ne pouvait tout simplement pas fuir, tout simplement ne pas nier la vérité. Elle ne pouvait tout simplement pas bouger, tout simplement pas s'affaiser. Ses muscles tremblaient sans que la féline tigrée puisse les arrêter. Et pourtant, jusqu'au plus profond d'elle, la féline pleurait, elle fuyait, et elle niait. Au plus profond d'elle, elle regnait son père, celui qui a tué sa mère, cet être qui a gâché sa vie, cet être qui tue sans scrupule, cette chose qui se prétend chef de Clan, cette chose qui ne s'abreuve que de sang et de souffrance, celle des autres. La féline grise tigrée leva la tête, des larmes mélangées à la pluie roulèrent sur ses joues, témoignant un petit peu, rien qu'un petit peu la douleure que la féline recentait.

- ... Brume Harmonieuse....

La voix de la féline s'étranglit, plus aucun mot ne voulait franchir sa gorge, une vérité dure à admettre frappa la féline. Non, elle ne pouvait ignorer qui était son père, même si un jour elle le tuait...
Ses larmes coulaient désormait à folts, la pluie accompagnant ce torrant de larme. LA féline s'écroula, refusant tout simplement de faire un pas de plus, de regarder une seule seconde la vérité en face. Elle était loin de se douter de ce qui allait se produire, de ces choses cruelles, de cette vérité terrible qu'elle allait découvrir et encore devoir supporter....

Chante Lune resta un moment silencieuse. Ce que LArme de Fougère ne vit pas, ou ce don elle ne se redit pas compte, c'est qu'elle tremblait. De rage. D'âpre mots d'un ton froid et dur, comme si il voulait faire taire tout sentiment, sortirent d'une frontière. Si ça avait été Larme de Fougère, ces mots se seraient brisés sur les durs murs de cette frontière.

-Je sais très bien de quoi il est capable, je suis née dans le clant de la Nuit et j'ai vécu dans le clan du Crépuscule.

La féline noire stoppa, comme pour laisser un vide, taire des choses qui avaient trop blesser, pour faire un vide, faire un tri nécéssaire.

Il était mon frère, et à détruit toute ma vie, il m'a détruit intérieurement. Je lui est soutiré une vie déjà, il me croyait morte. Si tu savait tout ce qu'il nous à fait.... A moi.... A ma soeur... Rire Mélodieux !

Les jambes de Larmes de Fougère tremblait, et la féline prenait consiance de ses mots qui l'atteignaient à peine. Des mots qui résonnaient en elle comme si elle n'eu été qu'une carapace vide. Oui, c'est cela. Elle n'était plus qu'une carapace vide animée par un consiance qui attendait son heure pour délaisser ce corps qui n'avait que trop souffert. De lointaines pensées reprirent surface dans l'esprit de la jeune féline.

- ... Dis... Tu connais... Plume.... Arc-en-Ciel ?

Faire sortir ces simples mots avait valu un effort considérable pour Larme de Fougère. Ses jambes cédèrent sous elle, et des larmes commencèrent à couler contre sa volonté, semblant ne jamais vouloir cesser. Sans jamais arrêter de témoigner. Pas sans avoir témoigner. Témmoigner un passé dont elle avait à peine consiance, et pourtant qui faisait partie intégrante d'elle. Elle se rappellait très bien de cette féline qu'elle avait vu en rêve. Une féline au pelage argenté, ce pelage tigré, et qui lui avait parler. Ou plutôt montrer. Réveiller, peut-être même bien, un passé qui avait été sien, un passé qui jamais ne pourrait être atténuer, qui serait présent là à tout jamais...

Un peu court je trouve :s]

- Ce nom ne me dit rien, mais j’ai besoin de savoir, sais-tu si elle est morte ? Si quelqu’un la tuée ? Car si elle est morte en même temps que tout les guerriers de mon frère, il se peut que…

LArme de Fougère capta la détresse de celle qui était, aparamment, sa tante. La féline secoua la tête. Elle sentait qu'elle s'en voulait pour quelque chose qu'elle n'avait pas fait. Que devait faire la féline ? Devait-elle se relever, partir ? Et aller où ? Traquer ce monstre ? Mettre fin à ses jours ? Où alors, devait-elle simplement rester là, immobile ? Se contenter de regarde ce qui n'est pas ? Non. Rien de tout ça.
La guerrière grise tenta tant de bien que de mal de sécher ses larmes. Elle resta un instant silencieuse. Elle pesa ses mots avant de répondre.

- .... Elle est morte de la main de Brume Harmonieuse. Alors ne te blâme pas pour quelque chose que tu n'as pas fait.

La féline se tut, sachant très bien la réaction que Chante Lune pouvait avoir. Juste un autre accès de haine qui l'envahit. Ce fut la même chose qui se passa en Larme de Fougère. Des larmes, son corps se tendu soudain. SA voix douce passa à une voix dure, sans pitiée, comme si elle eut été une tueuse. Ce qui n'était pas le cas.

- Lui qui est la cause de tous ça, il es sûr de finir en charpie, en pâté pour chien !!!

Larme de Fougère tenta de se calmer. Si elle devait choisir entre ne rien faire ou mourir en tentant de réduir et bouillie cet être qui avait gâcher sa vie, qui avait gâcher la vie de sa lieutenante, elle n'hésiterait pas. Elle n'hésiterait plus. Elle avait un but, désormais. Et elle continuerait de marcher jusqu'à l'avoir atteind.

- Chante Lune...

La féline regarda dans les yeux sa tante.

- Ses jours sont comptés !!

Une lueur nouvelle brillait dans les yeux de la féline. La mort ? Elle ne la craignait pas. La vie ? Elle ne savait que en faire. Peu importait, tout ça. Dans ses yeux, juste une promesse de vangeance brillait.

[Court déso']

-.... Elle est morte de la main de Brume Harmonieuse. Alors ne te blâme pas pour quelque chose que tu n'as pas fait.


Normalement un poids aurait du se retirer du cœur meurtri du lieutenant, mais rien ne se passa, sa gorge resta nouée, ses pattes tremblotaient légèrement. Toutes ses visions morbides qu’elle avait vue et vécus. Pourquoi n’était-elle pas morte en même temps que son vrai clan ? Pourquoi son frère l’avait-elle laissée en vie, elle et sa sœur. Oui, Chante Lune détestait son frère principalement parce qu’il à fait d’elles, les seules témoins et survivante d’un clan déchu. A quoi bon chercher… Elle préféra garder le silence, ne pas répondre, car souvent on dit que la paroles est d’argent mais le silence lui est fait d’or, pour elle, c’était la chose la plus précieuse qui pouvait être. Car on écoute, on comprend, et on ne brise rien avec ces bruits néfastes qui sortent de la gorge, la parole polluait les pensées.

- Lui qui est la cause de tous ça, il es sûr de finir en charpie, en pâté pour chien !!!

Son interlocutrice était tendue, sa voix dure et son regard froid. En quelques secondes, la haine venait de lui effacer tout sentiments. Donc la vengeance aussi, empoisonnait son cœur, lui voilait l’esprit et monopolisait ces pensées. La minette se souvint, comment elle avait su se délectait de se désir de vengeance, ce sentiment qui vous emporte loin du chagrin, de ces enfants morts, de sa défunte sœur, cette envie de représailles, de sang et de mort. Le plus poignant, était surtout cet espoir, qu’une fois la vengeance passé, tout irait pour le mieux, tout reviendrait. Mais quand la vengeance est passé, tout revient, tout le poids sur le cœur retombe avec violence et lacère de nouveaux l’esprit affaibli, puis ensuite on se rend compte que rie n’a changé, il n’y à eu que des morts en plus, on s’est rabaissé à son niveau. Non la vengeance n’apporte qu’un réconfort éphémère, et en échange elle nous rend coupable de choses affreuses. Un simple poison s’insinuant dans les veines, s’installant dans les entrailles et dévorant l’esprit qui vous restez.

- Chante Lune...

« A quoi bon se regard déterminé, regardes-toi, voies le reflet de ton âme, elle se détruit, arrête ». Mais le lieutenant ne fit que penser, sa gorge refusait de produire quelconque son, trop noué. Elle était dans une confusion totale, mélange de haine et de peur, de tristesse et d’envie… D’envie de sang… De meurtre. Qui était son ancêtre qui lui avait communiquer toute cette haine, cela l’effrayait, souvent elle voulait voir du sang couler, retenant ces frêles pattes d’accomplir telles ignominies. La chatte se souvint, du délice éprouver en égorgeant un à un chaque guerrier, en regardant s’étouffer sous sa patte le père traître de ces enfants. Comment des remords éprouvaient il y a peu pouvaient s’effacer en si peu de temps ? Oui, plus que de son frère, elle avait peur d’elle même…

- Ses jours sont comptés !!
- La vengeance ne t’apportera que de la souffrance…


Chante Lune marqua un temps de face, fixa ces griffes plantées dans l’herbe détrempée. Des armes de batailles, puissantes, terrifiantes, qui avaient connu tant de sang, trop même. Et pourtant, leurs luisances, sournoises avaient l’air d’appeler leur maître à tout tuer et déchiqueter à qui savait écouter.

- La vengeance fait bien trop peur, elle empoisonne le cœur, mais si séduisante… En le tuant, tu te rabaisseras au niveau de ton père, et pourtant, cette envie de sang…

« Quel est cet être sanguinaire qui faisait partie de nos ancêtres, et qui nous à léguer cette haine ? »

[Désolé pour ce rp de chiotte ><"]

- La vengeance ne t’apportera que de la souffrance…
- La vengeance fait bien trop peur, elle empoisonne le cœur, mais si séduisante… En le tuant, tu te rabaisseras au niveau de ton père, et pourtant, cette envie de sang…

La féline tourna la tête avant de reregarde sa lieutenante. C'est vrai. Chante Lune avait raison. Un éccho se répercuta à travers le vent. Un rauque cri de souffrance, un sanglot étouffer, des cris de rage devant un carnage, une promesse sourde. Le regard de la féline devint soudain triste, comme si elle avait pu voire le passé. C'est vrai. Elle allait tué un chat. Un. Un seul. Rien de plus. Un mort ou des dizaines ? Il fallait choisir. Et le choix se faisait maintenant. Elle savait qu'elle se rendrait coupable de choses affreuse. Mais elle devait mettre un terme à sa souffrance. Enne devait tirer un trait sur son passé. Elle devait redevenir elle. la chatonne rieuse. Son regard rerit le teint si doux de son enfance.

- Je le sais, tata. Seulement, je dois tiré un trait sur mon passé. El la seule manière dont je pourrait tiré ce trait, c'est de mettre un terme à la cie de ce chat qui a causé tant de souffrance, tant de désespoir, tant de tristesse, ce chat qui a retiré de nombreuses vies, trop nooùbreuses, et qui ne retira encore que toujours plus de vie, qui ne causera que toujours plus de souffrance, de tristesse et de désespoir. Il est inutile de m'arrêter. Si je dois y laisser ma vie, il en sera ainsi.

La féline s'avança dans la nuit. Elle partait. Maintenant. Pas un autre jour. Maintenant. Peut-être qu'elle ne reverrait jamais cette forêt. Mais peu lui importait. Un peu plus loin, elle lança :

- Si je ne le fais pas maintenant, je le regretterais toute ma vie.

Elle s'éloigna encore, partant pour cette futile quête. Alors que les ténèbres l'avaient engloutis, un murmure avait put parvenir aux oreilles de la lieutenante.

- Je n'ai pas le droit de priver ma Soeur plus longtemps du rire qui a baigné mon enfance. Elle n'y est pour rien. Je n'ai pas le droit de l'empêcher de l'entendre à nouveau...

La féline disparut cette fois-ci pour de bon, et chercha une odeur qui lui était famillière, rassurante. Elle savait que désormais rien ne pourrait l'empêcher d'accomplir cette vangeance et de tracer ce trait qu'elle a tant chercher à faire.

[c'est court. Mais ça veut tout dire xD Fin ?]