Je présente l'histoire plus complète de ma chatte ^^, au plaisir de ceux qui liront!
Le brise galcée de l'automne emportait avec elle les dernières proies de l'années. L'hiver s'annonçait froit, même dans les relations entre les clans, car plusieurs nuages noircissaient le ciel. On savait, dans le clan du tonnerre, que l'hiver serait encore plus rude qu'à l'habitude, parce que le chef ce faisait vieux et presque mourrant... Tous savait qu'il ne surviverais pas à cette saison des glaces, même s'il lui restait deux vies célestes à écouler... mais personne n'osait le dire, encore moins en parler au chef ou à son lieutenant.
Le lieutenant était un matou fière et bien bâti, un vrai dirigeant. La nature lui avait offert un bon nombre de victoire héroïque et il était apprécié partout ou il passerait. C'était un chef, un vrai. Maintenant que le dirigeant était mourrant, les autres chats avaient de plus en plus besoin de lui.
Mais ce n'était pas son image au yeux du clan qui le rendait si fière, ni la mort proche de leur chef.... Mais bien la naissance iminante de sa toute première portée. La chatte était grosse depuis un moment déjà et on provéoyait l'accouchement pour ce soir tout au plus. Tel un père fidèle, chacun de ses temps libre était aloué à sa belle reine. Il ne voulait absolument pas manquer la naissance des sept beaux chatons prévus.
Le crépuscule tomba, le lieutenant, déçu que l'accouchement n'est pas eu lieu, alla se coucher tranquillement, espérant que le jour tant attendu surgisse le lendemain... Mais il savait que plus il attendait... plus la naissance pour ses petits chatons seraient difficiles. Les autres matous le savaient et ils regardaient avec inquiétude leur supérieur... Ce chat ne pourrait pas perdre son chef ET sa portée. Sa bravoure serait diminué et sa tristesse: incontrôlable. C'est pourquoi, lorsqu'il entendire un cri, les chats purent enfin dormir paisiblement... Car le premier hurlement de la reine du lieutenant perça le silence de la nuit.
Pour la mère, l'accouchement fut difficile, pour le père, ce fut titanesque. Il commentait sans cesse les mouvements du guérisseur qui faisait tout pour mettre au monde sept petites bêtes innofensives. MAis au grand désespoir du lieutenant, les petits chatons, au contactent du froid, mourrait les uns après les autres. À chaque fois qu'il sentait un petit corps ce geler sur les feuilles mortes de l'automne, le père perdait espoir. Il léchait avec de moins en moins d'ardeur, sachant qu'au fond de lui, aucun ne surviverait... à moins de miracle.
Le miracle arriva.
Petite et menue, dès que la dernière petite chatte sortit du ventre de sa mère, on la crut morte. Son pelage noir se fondait partout et sa respiration était très faible. Elle ne miaulait pas, ne bougeait pas. Le père la lécha avec lenteur et désespoir... puis... le chaton miaula. La petite chatte était toujours en vie et commençait à remuer lentement sous les coups de langue chaud et tendre de son père. Lorsque le lieutenant constata qu'un l'un des chatons de sa progéniture vivait, il le prit dans sa gueule et recommença à le léché à l'interieur de la tanière avec sa reine. L'un de ses petits avait survécu! L'une de ses petites... Ce chaton était un miracle... Son miracle. Le père ne sortit pas de la tanière de toute la nuit. Il ne dormit pas, il réchauffa sa reine et sa petite... Son unique petite. Il chercha toute la nuit un nom approprié pour sa miraculé et lorsque le soleil ce leva, il eut son illumination... Son chaton sera Petit Murmure... En l'honneur du miaulement qui lui avait sans doute sauvé la vie. Il avait hésité entre Petit Murmure et Petite Nuit... Mais elle serait Petit Murmure.
Lorsqu'il sortit de la tanière ce jour là, le chef projettait une énergie nouvelle, une fièreté exquise. Lorsqu'on lui demanda ce qui était arrivé à sa portée, il avoua avec dignité que l'un de ses petits chatons avait survécu et qu'il l'Avait nommé Petit Murmure. On ne lui demanda pas pourquoi il n'était pas plus triste d'avoir perdu le reste de sa portée, mais personne ne connaissait le Miracle.
