Le lieutenant marchait, la tête baisser non par fatigue ou par discrétion mais pour économiser de l'énergie et de la chaleur en cette saison des neiges. Il était juste rentré de chasse quand une reine folle d'inquiétude qui questionner tout les guerrier et apprenti rentrant au camps lui avait demandé d'un ton paniquer s'il avait vue Petit Faucon.
*Petit Faucon?* Avait-il penser, *Jamais entendue parler...*
Puis il avait dit à la mère en larme qu'il allait partir le cherchait, se qui n'était pas en théorie pour la rassurer mais qui, étrangement, eu cette sorte d'effet. Surement ne s'était-elle pas rendue compte tout de suite à travers ses soucis qu'elle s'adresse au bourreau de chaton Griffe des Neiges. Il était donc partit, essayant vainement de détecter l'odeur d'un chat à travers la neiges fraichement tomber, mais décidément il allait devoir partir à l'aveuglette. Il décidas de faire le chemins de la patrouille, un peu maladroitement pensés car un chaton ne connaissait vraisemblablement pas le chemins qu'emprunter les guerrier pour leurs patrouille et dépasserais dans les territoire adverse avec une grande facilité. Il fini pourtant au bout du chemin par retrouver une odeur qu'il avait déjà sentit près de la pouponnière, et pas celle d'une reine, celle d'un mâle. Un grondement réprimer à la gorge, il accéléras l'allure pour finalement retrouver le petit chat, qui semblait au meilleurs de sa forme si se n'était le froid, et certainement pas accompagner d'un quelconque odeur qui put faire penser à un enlèvement. Il grondas sourdement un:
"Petit Faucon..."
Avant de se rendre compte que la pauvre chose avait fermer les yeux et était presque recroqueviller pour recevoir un coup. Sans être vraiment attendrie, le lieutenant penser souvent qu'une bonne peur équivalez à peu de chose près chez la victime à une bonne baffe. Il le poussas donc juste rouler dans la neiges d'un coup de pattes sans griffe en demandant d'un ton désapprobateur:
"Sa t'amuse vraiment de faire paniquer ta mère, hein?!"
Il avait l'air énervé mais moins qu'au départ. Il allait donner une leçon au garnement mais juste se qu'il fallait pour pas qu'il ne s'imagine qu'il avait le droit de faire ça.

"Sa t'amuse vraiment de faire paniquer ta mère, hein?!"
Le petit chat était terrorisé et content à la fois: Griffe des Neiges c'était juste contenté de l'envoyé bouler dans la neige. Pourtant, il allait passer un sale quart d'heure: le lieutenant n'était pas tendre avec les chatons, il l'avait démontrer plus d'une fois...
De plus, si le grand chat immaculé voulait le punir sévèrement, par la force des griffes, il n'hésiterait pas à le faire. Pourtant, la raison revint à Petit Faucon: Griffe des
Neiges était un vaillant lieutenant, un élément moteur du Clan. D'ailleurs, ce n'était pas un hasard si Etoile de Cristal l'avait choisi pour le seconder après sa mort... Néanmoins, Petit Faucon risquait de se faire sérieusement réprimander sur le chemin du retour... Griffe des Neiges avait la langue acérée. Levant la tête vers le grand matou majestueux, il dit:
"Comme je n'ai pas pu assister à l'Assemblée, je me suis rendu au Quatre Chenes, pour voir ce que s'était. De toute façon, dans une lune, je serais apprenti, alors...*
Le petit félin ne s'était pas laisser démonter... Cependant, Griffe des Neiges réagit au quart de tour:

En un grondement, le félin blanc enfonçant la tête du chaton dans la neiges d'un brusque coup de pattes, l'y tenant enfoncer le temps de dire, sans se rendre compte que la couche blanche et froide l'empêcher de respirer:
"Quel culot! Tant qu'on est pas apprenti on ne sort pas du clan seul, c'est une règle, mioche impertinent, et si tu ne l'es que dans une lune, c'est une raison de plus pour rester au camps."
Il relâcha sa prise avec une lueur noir dans l'oeil. La façon nonchalante avec laquelle Petit Faucon c'était adresser à lui était proprement révoltante, Griffe des Neiges en avait à peine crus ses oreilles. Il croyait encore moins ses dernière quand on lui disait des chose comme que ses petites bête était l'avenir du clans ou qu'ils allait devenir de valeureux guerriers. Ça?! Si se n'est pas capable de respecter le code des guerriers à quatre lunes de n'en est pas plus capable à quarante, selon sa vision des chose. Il grogna encore à vois base en regardant le petit, s'il rentrait blesser il pouvait facilement dire à la mère qu'il avait eu un accident, personne ne pourrait le vérifier, mais vouloir voir les Quatre Chêne était-il passable de punitions violente? Il pouvait comprendre qu'on veuille savoir de quoi il s'agit, même si moins impressionnant à voir qu'à en entendre parler selon son expérience personnelle. Une nouvelle fois, il envoyas le chaton bouler un le cueillant cette fois d'un coup de patte au milieu du ventre, avant de reprendre la parole, d'une vois sombre:
"... Mais comme tu as put les voir à présent, tu pourras surement te passer d'y aller la prochaine fois..."
Il était bien décider à se que le chaton reste au camps bien après même sa nomination au rang d'apprenti. Son pelage au extrémité gelée était bien suffisamment énervant pour que le coupable mérite cette punition, qui pour le lieutenant blanc ne représentait pas grand-chose...

Avec son habituel sourire en coin, il saisit brusquement le pauvre petit par la peau du cou et le secoua violemment, sans lui briser la nuque cependant. Se n'était pas la première fois qu'il faisait ça, ça effrayait d'habitude suffisamment les gens pour qu'ils se taise un moment. En le reposant, le lieutenant lui dit, d'un ton gentil avec un sourire amicale:
"Il as eu se qu'il mérité. Je lui avait juste demandé mon chemin. Si tu étais là, tu aurait dû me l'indiquer. Sa t'aurait éviter d'avoir à subir ça."
D'un mouvement aussi rapide que brutal, il lança sa patte en avant et, les griffes sortit causas une entaille unique sur la pattes arrière du chaton. Petit, mais très profonde. Elle resterais longtemps, si se n'est toujours. Il dit, d'un ton toujours joueur et gentil:
"Aller, on rentre, maintenant!"
Avec cela, Griffe des Neiges montrait bien que "instable" était la définition en un mots qui lui allait le mieux. Il poussas le chaton devant lui pour ne pas avoir à vérifier s'il suivait, et, souriant toujours, attendit qu'il se mette en marche ou qu'il lui radresse la parole. Il ne comptait pas le ramener au camps, mais le faire marchait inutilement jusqu'à se que sa blessure arrête de saigner, se qui devrais être assez vite fait avec le froid mordant. As l'heure actuel, le lieutenant de l'Ombre n'étais pas fâché. Il était juste bouillonnant, il bouillonner intérieurement d'un feu qui sortirait sous n'importe qu'elle forme, la première qu'il pourrais lui donnait.

[Désoler un peu court mais je préfèrer poster tout de suite que de remettre à demain et faut que j'y aille]

Violement secoué, Petit Faucon se vit mourir... D' un geste aussi rapide que lâche, Griffe des Neiges le griffa légèrement, en longueur. La douleur à la patte arrière du petit chat le faisait souffrir aussi fort que ses doutes intérieurs... Le lieutenant pouvait très bien décidé de le tuer, sans témoins. Il n'aurait plus qu'à dire au Clan qu'il avait retrouvé Petit Faucon mort, près des Quatre Chênes, il ne serait pas plus inquiété que cela. Néanmoins, le grand chat de neige continuait la route d'un pas traînant, comme si il attendait le petit félin écaille-de-tortue, compte-tenu de sa blessure.

Malheureusement, Petit Faucon n'avait pas assez d'expérience pour comprendre que le lieutenant blanc lui jouait encore un mauvais tour: il attendait tout simplement que la blessure arrête de saigner pour être insoupçonnable...

Malgré tout, Petit Faucon ne se douta de rien, pourtant persuadé que Griffe des Neiges n'aurait pas dû faire ce qu'il venait de faire...
Et puis, après tout, pourquoi n'irait-il pas à la rencontre d' Etoile de Cristal, le chef du Clan? Encore traumathiser par le geste du guerrier, la minuscule boule de poils n'osait piper mot. Les idées se bousculaient dans a petite tête brune: d'abord, il irait voir Griffe d'Argent, le guérisseur du Clan... Sa déciqion était prise, il mettrait Griffe des Neiges dans de sales draps d'une manière ou d'une autre.

Le grand chat d'un blanc immaculée, tout en vérifiant que le chaton avance bien devant lui sans s'écarter, repenser vaguement à Petite Fantaisie/Nuage de Fantaisie, qui était maintenant belle et bien Etoile de Fantaisie, et son ennemis. Il y as peu, en ramenant leurs guérisseur sur le lieu de son accident, il lui avait plus ou moins sauver la vie, mais jadis, il y à bien longtemps, il avait faillit la tuer dans l'une de ses crise de colère des plus violente. Quand ils s'était rencontré à nouveau, elle avait essayé de le tuer pour ça, à cause de cette vieille rancœur... La boule de poils multicolore face à lui garderais-t-il se même souvenir? Si tout les jeune qu'il martyrisait devenait des guerrier près à tout pour le tuer il était sur de ne jamais arriver à anciens . Sentant quelques chose de léger se poser doucement sur sa tête, il levas les yeux vers le ciel qui faisait à nouveau pleuvoir les flocon sur les tête féline qui avait pour certaine espérer un peu de paix qu'en as la neiges. Dommage pour elle d'espérer quelques chose d'aussi incertain, mais se n'était la le cas de Griffe des Neiges qui, contrairement à beaucoup si se n'est la totalité de ses congénère, aimer le froid, et aussi la neiges. Le petit devait être bien moins ravis... Mais il ne fit aucun commentaire et dit seulement:
"Stop."
Puis, sans attendre une éventuelle réponse, il le poussas pour qu'il soit sur le flan dans la neiges, et le tenant fermement au sol par une patte pressée contre son flan, entrepris d'examiner la blessures qu'il avait causés. Il se fallait pas qu'elle soit trop sale; il avait voulut lui faire mal, pas le faire tombé malade. Il ne fallait pas qu'elle est l'air récente, mais le mieux était si elle n'était pas visible, pour cela fallait-il encore la recouvrir en déplaçant les poils adjacent de la petite pattes du matou.
Le lieutenant du clan de l'Ombre n'avait pas sincèrement penser qu'il était possible que son cadet soit suffisamment "fou" pour aller dire à tout le monde qu'il l'avait blesser. Tout le monde savait déjà qu'il était violent. Mais Petit Faucon ne savait peut-être pas que tout le monde savait...
Quoi qu'il en soit, le mâle blanc grognas:
"Je te déconseille de bouger, gamin."
Et mis sa tête presque contre la patte du chaton pour l'examinai en détaille, avant de décider s'il pouvait le prendre par la peau du cou et le ramener au camps ou continuer à la faire marcher inutilement.