Après le drame de l'Assemblée sanglante, la vie reprend son cours...normalement ? |
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Invité Invité
| Sujet: » Quand faut y aller... 29/10/2009, 01:00 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: » Quand faut y aller... 29/10/2009, 21:29 | |
| Encore raté ! La mine déchue , la boule de poils contempla , le regard rageur , la petite queue rousse qui disparaissait avec une souplesse presque moqueuse dans la cime du grand chêne sous lequel l'apprenti s'était arrêté . Boudeur , le prédateur humilié donna un coup de griffe dans le tronc centenaire , et voir , millénaire , ou sa proie du jour avait trouvait refuge . Aussitôt une douleur légère dans les côtés lui répondit . Hébété , le matou fixa le chêne comme si celui si venait de répondre à ça vengeance physique qui lui avait enlevé quelques bribes d'écorce et laissait une trace verte telle une mauvaise plaie . Pourtant , l'arbre innocent continuait d'osciller paisiblement sous les légères bourrasques du vent venu du sud . Et les coups reprirent de plus belle . Agacé , le novice beige secoua son large museau et recula légèrement . Mais ces membres postérieurs percutèrent une surface dure et lisse et le jeune félin , dont le visage évoquait en même temps la surprise et un agacement proche de la colère , se retrouva le museau dans l'herbe humide et chatouilleuse . Les coups frénétiques reprirent et à eux s'ajouta un écho sourd et légèrement menaçant . Nuage de Noisetier agita la tête et roula sur la dos . L'écho revint aussitôt , devenant de plus en plus net et familier .
« Allez ! Réveille-toi. Retrouve-moi tout de suite devant le Promontoire. »
Le matou ouvrit les yeux . Ses paupières retombèrent de suite , le plongeant dans les ténèbres accueillantes et chaleureuses du monde des rêves . A contre-cœur , le félin rouvrit ses deux grands yeux fougères et se força s'étirer . Ses articulations , encore engourdies par le sommeil , craqueraient avec un bruit sonore , faisant remuer les autres novices éparpillait autour de lui . Une vague de jalousie submergea aussitôt le matou dont l'humeur n'avait en ce moment d'égale que sa fatigue . Les autres apprentis avaient des mentors bien moins demandeur ! Mais bon , ainsi en avait décidait le destin , Noisett' était voué à se lever tôt pendant tout son apprentissage . Il fallait dire que c'était de loin son pire point faible . Pas du tout lève tôt , Nuage de Noisetier savait très bien qu'il agaçait énormément son mentor avec ce "problème". En parlant du loup ...
Un rapide coup de langue sur son poitrail ébouriffé , un bâillement , et l'apprenti était déjà dehors . Son regard tomba aussitôt sur le félin bicolore assis non loin du promontoire . Un dernier étirement et le jeune mâle s'avança vers le guerrier . Prudent , le novice s'assit poliment devant le chasseur noir et blanc . En vain il tenta de scrutait le visage de marbre du matou . Cette même expression impassible , telle une barrière barrait le chemin au chaton vers les pensées mystérieuses de son mentor , l'obligeant à s'attendre au pire . Pourtant quand Sombre Écho , nom peu rassurant , lui adressa la parole , ses mots avaient la dose exact entre le chaud et le froid .
« [...] avoir besoin de force aujourd'hui. J'espère que tu es bien réveillé. Et essaie d'être un peu plus vif la prochaine fois que je te réveille. Tu as veillé toute la nuit ou quoi ?
- En ... En quelque sorte . » miaula tout bas le concerné avant de s'effacer de la vue de son mentor .
Le faite qu'il doive prendre des forces avant l'entrainement ne le rassurait guère mais il ne pipa mot et se dirigea rapidement jusqu'au Tas de Gibier . Son choix tomba aussitôt sur une mulot bien gras . Saisissant délicatement le petit rongeur , le matou trotta jusqu'à un coin tranquille et assez près du labyrinthe de ronces pour savoir si son mentor l'attendait ou pas . L'attention rapportée sur son déjeuner , le matou mordit à pleine dent dans la chair succulente et encore chaude , se qui laissait croire que l'animal n'avait pas était attrapait depuis très longtemps . Une , deux , trois bouchées et il ne restait au mulot plus que les os et quelques bribes de viande que le félin n'avait pas réussi à arracher . Quittant à contre-cœur son endroit plutôt confortable , le matou s'engagea sur le chemin apprit par cœur menait à l'entrée ... et à son entrainement .
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: » Quand faut y aller... 4/9/2010, 00:36 | |
| » Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal. Feat Nuage de Noisetier
Peur. Crainte, inquiétude ressentie face à un danger, une situation présente ou à venir. Voilà ce que je voyais dans les yeux de l'apprenti qui me faisait prudemment face. Cette légère tension dans ses muscles, sa façon de ne rester fixé qu'un instant sur mon regard avant de s'en éloigner vivement de quelques millimètres. Aussi maître de moi puis-je être, jamais les distances que je me tenais de garder avec tous les membres de ce maudit Clan ne pouvaient me permettre d'effacer cette distance qui avaient engendré une crainte sourde et constamment présente dans nos relations. De toute façon, quelle importance. Ce que pensait de moi ce gringalet m'était égal. Il n'était qu'un chat que je devais cotoyer uniquement par devoir et non par plaisir. Comme tous les guerriers qui semblaient soudainement avoir oublié tous leurs griefs contre ma personne. Je ne partageais mes repas avec eux que pour ma vengeance. Je ne souriais aux apprentis que pour ma revanche. Je n'aidais les anciens que pour ma punition. Cet avorton que l'on m'avait désigné comme apprenti n'était qu'un pion de plus dans ce que je croyais être mon jeu. J'étais le roi, et ainsi, je les dupais tous, les déplaçant à mon aise sur mon échiquier. Et à la fin, tous tomberaient. Tous goûteraient à ma souffrance. Tous verraient ce que j'avais du vivre, continuellement. J'étais le roi, eux n'étaient que des pions... Facilement manipulables...
« - En ... En quelque sorte. »
La voix faible de Nuage de Noisetier me fit sortir de mes pensées vengeresses. Avec regret, je m'en tirais, me contentant de regarder d'un air vide le gringalet s'éloigner de moi. Depuis que j'étais devenu contre mon gré, son mentor, je m'étais demandé pourquoi Etoile Rousse avait fait ce choix de couple. Après tout, depuis cette mémorable bataille aux Quatre Chênes, les brimades avaient cessé, et tout le Clan savait que j'étais devenu froid et distant. Peu m'adressaient la parole et c'était le plus souvent uniquement lorsque j'étais de patrouille avec d'autres guerriers. Alors, pourquoi m'avait-elle donné à moi ce nabot naïf et horriblement positif ? Notre "chef" avait bien du prévoir que nos deux caractères totalement opposés ne nous permettraient pas de pouvoir cohabiter dans une relation normale. Ou alors, elle avait supposé que ce positiviste adoucirait mon caractère... Pensée ridicule mais au fond tout à fait digne de la meneuse de l'Ombre. De toute façon, réfléchir ne résoudrait rien, je n'avais jamais su comprendre cette chatte qui présentait un caractère trop différent du mien pour que je puisse ne serait-ce qu'essayer de le comprendre.
Mon regard embué s'attacha aux mouvements de mon apprenti tandis que celui-ci se dirigeait vers l'entrée du campement, devançant mon ordre. A force d'habitude, il s'était mis à comprendre que certaines choses restaient immuables avec moi et commençait à obéir à mes injonctions avant que je ne les exprime. M'ébrouant silencieusement, je partais à sa suite m'enfonçant dans ce qui servait de chemin de passage à ce campement. Dépassant Nuage de Noisetier qui m'attendait un peu plus loin, je me contentais de lui faire comprendre d'un signe de la queue qu'il devait me suivre. Je n'avais vraiment pas envie de gaspiller de ma précieuse salive pour lui dire où nous allions. Il le découvrirait bien assez tôt. De toute façon, je n'étais pas sur moi-même d'où j'allais l'emmener. Bien que cela n'ait pas une grande importance puisque l'entrainement de cet apprenti ne m'intéressait en rien, je me devais de garder des apparences plus ou moins honorables et donc d'être un mentor convenable. Ce fut donc plus ou moins inconsciemment que je dirigeais vers les Marais. Difficile de dire si j'avais eu une bonne ou mauvaise idée, ceux-ci n'étant pas le meilleur endroit où se battre.
M'asseyant au ralenti, je me tournais à demi vers Nuage de Noisetier qui m'avait suivi en silence jusqu'ici. Sachant qu'il était considéré comme un de plus bavards du Clan, il devait vraiment me craindre pour ne pas avoir dit un seul mot depuis le départ du Clan. Bah, c'était plus facile ainsi, ça aurait rendu nos entrainements tendus voire insupportables pour moi s'il avait continué comme au début. Laissant planer encore quelques instants un silence que je savais pertinemment qu'il avait du mal à supporter entre nous, je laissais mes pensées flotter dans ma conscience, réfléchissant vaguement à la façon dont j'allais argumenter mon choix de lieu pour un combat. Quoique, cela avait-il vraiment de l'importance... Me retenant de bailler, je brisais le silence qui commençait à se cristalliser sous la tension contenue, tachant d'improviser quelque chose de plus ou moins crédible.
« - Aujourd'hui, tu vas t'entrainer au combat puisque ton niveau à la chasse commence à être satisfaisant. Comme tu dois t'en souvenir, la dernière fois que je t'ai entrainé au combat, c'était dans le charnier, où le terrain est plus régulier et surtout sec. Ici, puisqu'il a plu hier, le terrain est plutôt boueux voire gluant et très irrégulier ce qui rajoute une difficulté à cet exercice. De plus, bien que vu que l'on soit à découvert cela ne change pas réellement la donne, les odeurs sont ici difficiles à saisir car recouvertes par la puanteur des marais. Tu dois pouvoir combattre sur tous les types de terrain. »
Je marquais une pause, le laissant savourer le "compliment" rare que je venais de lui offrir. Mon humeur ne s'arrangeait pas réellement mais je devais reconnaître qu'il ne se débrouillait pas trop mal en général bien que je sois désespéré par son allure générale, sa naïveté, son positivisme à toute épreuve... En fait, ce chat m'énervait dans tout son caractère. On pouvait presque dire qu'il était mon total opposé.
« - Bon, commence par m'attaquer. Tu dois essayer de me renverser »
Me relevant placidement, je me concentrais sur lui. Dans cet exercice j'avais un avantage considérable. Notre différence de masse. Un exercice comme celui-ci permettait aux jeunes de perdre leurs habitudes de chatons qui consistaient généralement à foncer dans le tas pour réfléchir. Pour réussir à faire tomber quelqu'un de plus lourd que soi, il fallait ruser, tromper, feinter... Mes yeux troubles s'attachèrent à observer le moindre détail que ce soit concernant l'apprenti mais aussi tout le terrain nous entourant. A ce moment de l'entrainement, mes pensées maussades, coléreuses et méprisantes disparaissaient pour laisser place à un calme que je ne connaissais que rarement. Ma concentration était telle que les émotions disparaissaient laissant un vide réconfortant à la place. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: » Quand faut y aller... 3/11/2010, 01:07 | |
| | Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal. [Hector Berlioz] |
Les mauvaises âmes sont partout. Que se soit dans les amitiés, les amours, les haines, il y aura toujours le mauvais, le méchant, celui qu'on craint ou admire, celui qui suscite ce respect froid et bien malheureusement non mutuel. Et parallèlement, toujours, il y aura le bon, le brave, le grand cœur aux défauts cachés, celui qui attise un amour collectif et sans limites. Ou presque. Toujours, tout le monde verra la vie en noir et blanc, avec ses mauvais et ses bons. Toujours. Cette bêtise collective ferra naître des héros et sombrer des méchants. Mener à l'hypocrisie des gens sensés, enflammer d'une rage inexpliquée des centaines de "moutons". Les méchants et les bons. Le noir et le blanc. Mais quant est-il des autres couleurs ? Le blanc peut être moucheté de noir, de rouge, de haine et de sang. Le noir peut être tigré de blanc, de bleu, de vert, de joie et d'amour. Le héros peut être fou, le méchant pas si mauvais. La vie est colorée. Pourtant, certains oublient leur prisme et continuent de la voir en blanc. Et en noir. Alors qu'il suffit d'une averse pour faire apparaitre un arc-en-ciel. Le héros ne sont pas tous bons. Les méchants pas tous mauvais. Alors pourquoi s'entêter ?
Nuage de Noisetier s'immobilisa. Derrière lui, légers et discrets, les pas de loup de Sombre Écho présageaient l'arrivée prochaine de leur propriétaire. Le jeune mâle tourna légèrement la tête, une patte suspendue en l'air, attendant que la voix distante de son mentor lui annonce le lieu de ses tortures. Aucune réponse ne lui parvint, juste un évasif signe de la queue qui lui ordonnait de suivre en silence. Docile, la nuque courbée, l'apprenti se mit en route. Peut être que la nature optimiste de Noisetier lui permettait de ne pas totalement désespérer. A chaque pas, la tension s'accentuait, alourdissait encore plus l'atmoshpère déjà étouffante. Et pourtant, le matou, presque impassible, continuait résolument sa marche, sans l'ombre d'une quelconque haine ou dégoût sur le visage. Il craignait Sombre Écho. Pour lui, le guerrier noir et blanc était une statue de glace, impraticable et distante. Le Clan le respectait, alors il était logique que le novice beige le respecte aussi. Mais, également, Nuage de Noisetier était animé par un tout autre sentiment bien plus étrange. Difficilement explicable, spécifique au jeune chat de l'Ombre. Il avait de l'espoir. Oui, de l'espoir. Aucune souche n'est définitivement pourrie, aucun visage définitivement glacé. Il savait, il voulait, il espérait, pouvoir trouver sous ce masque correct mais impassible une âme colorée. Noisetier était un optimiste, un jeune fou aux idées bien irréelles. Il était étouffé par les utopies d'un monde meilleur, et sa relation avec son mentor n'y faisait pas exception. Le triste constat d'une entente tout simplement impossible ne le fatiguait pas. Alors pourquoi ne faisait-il pas cet amical pas en avant ? La crainte. Et oui. La crainte d'être rejeté, la crainte d'une punition, la crainte tout simplement. Mais Noisetier était patient. Et le moment venu, son cœur naïf de chaton naïf saura tenter de tirer un peu de vraie chaleur du mâle noir et blanc.
Frémissement imperceptible de la fourrure. Nuage de Noisetier releva les yeux, un brin égaré. Face à lui, Sombre Écho s'était assis, à demi-tourné vers le jeune chat beige. Il semblait réfléchir. Hésitant, le novice aux yeux verts balaya le lieu de l'entrainement du regard. Le Marais. Il aurait dû s'en douter, lorsque l'odeur putride de la vase l'avait pris à la gorge, et lorsqu'il s'était mis à espérer qu'il n'aurait pas à se trainer dans la boue collante. Mais non. Noisetier fit quelques pas en avant, tandis que son mentor laissait peser le silence. Un malaise de plus en plus désagréable commençait à se prononcer dans le regard de l'apprenti tigré. Le matou baissa les yeux vers ses pattes boueuses. Le silence, tueur de joie, nuisible du bonheur, les étouffait, enroulait autour d'eux son corps noueux de serpent. Enfin, Sombre Écho parla.
« - Aujourd'hui, tu vas t'entrainer au combat puisque ton niveau à la chasse commence à être satisfaisant. Comme tu dois t'en souvenir, la dernière fois que je t'ai entrainé au combat, c'était dans le charnier, où le terrain est plus régulier et surtout sec. Ici, puisqu'il a plu hier, le terrain est plutôt boueux voire gluant et très irrégulier ce qui rajoute une difficulté à cet exercice. De plus, bien que vu que l'on soit à découvert cela ne change pas réellement la donne, les odeurs sont ici difficiles à saisir car recouvertes par la puanteur des marais. Tu dois pouvoir combattre sur tous les types de terrain. » Noisetier frémit. Très légèrement, très faiblement. La "flatterie" maquillée que venait de lui accorder son mentor l'étonnait. Normalement, la rareté de ce phénomène aurait dû le réjouir, mais les papillons tourbillonnants dans son ventre l'empêchaient d'esquisser l'ombre d'une sourire. Le matou tourna doucement les oreilles en arrière, nerveux. Puis, lentement, hocha la tête.
« - Bon, commence par m'attaquer. Tu dois essayer de me renverser. » Le combat ne fut jamais une chose appréciée par Nuage de Noisetier. Même lorsqu'il était chaton, une sorte de répugnance inexplicable l'animait à la vue de gamins en train de se battre. Ainsi, passait-il la plupart de son temps chez les anciens, à nourrir son esprit naïf des sornettes des vieillards. Sornettes qu'il allait raconter aux autres chatons, tout en n'oubliant pas de les enjoliver, de les changer à sa guise. Peut être était-se de là que venait sa réputation de pie bavarde. Enfin.
A contre-cœur, Noisetier fléchit les postérieurs. Réfléchir. Le sol était boueux, glissant, au moindre faux mouvement il risquait de voir le monde basculer dans la tourbe. Logiquement, il n'avait aucune chance. Mais que serait un monde constitué seulement de logique ? Il fallait qu'il arrive à le surprendre, à détourner son attention. Noisetier posa un regard méfiant sur les griffes acérées de son adversaire. Le souvenir vague de son premier entrainement au combat resurgit par morceaux dans son esprit brumeux. Durant cette étouffante journée au charnier, il avait plutôt été question de théorie, et de poses défensives. Comment attaquer ? Il n'avait aucune expérience, pas même un niveau de chaton. Devant cette conclusion accablante, l'apprenti beige sentit son ventre se serrer au point d'avoir l'impression qu'un monstre venait de percuter son estomac. Sa pupille se rétracta, son cœur s'emballa dans sa poitrine. Il fallait qu'il se calme. Noisetier leva un œil nerveux vers son mentor. Le grand mâle attendait, impassible. Bon. Le jeune matou ferma un instant les yeux, prit une grande respiration. Puis releva -un peut trop- brusquement la tête, son regard anormalement fixe figé sur l'épaule du bicolore. Et enfin, bondit. Ensuite, tout se passa très vite.
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